Chargement

Vins en vente : L'Aitonnement

| 23 résultats
Photo d'arrière plan en noir et blanc montrant la lumière du soleil à travers des vignes
Photo du domaine 1 / 4
Photo du domaine 2 / 4
Photo du domaine 3 / 4
Photo du domaine 4 / 4

L'Aitonnement

Au cœur d’un vignoble montagnard délaissé, car trop accidenté, Maxime Dancoine a choisi de redorer le blason de variétés ancestrale qui s’épanouissent avec grâce au sein d’un terroir solaire, venteux, pentu et drainant. Et ce, grâce à des méthodes de culture biodynamiques et des vinifications d’une douceur presque maternelle.

Lillois d’origine, œnologue formé à Beaune et à Changins en Suisse, Maxime Dancoine n’est vigneron que depuis 2016, lorsqu’il reprend des vignes plantées à Aiton et crée le domaine de l’Aitonnement. Sur 1,5 hectare niché à la pointe occidentale du massif de la Maurienne, ses vignes du coteau d’Aiton enfoncent leurs racines dans des sols de marnes grises et de schistes, sur des pentes atteignant jusqu’à 70% d’inclination. Elles bénéficient d’un ensoleillement continu et d’une exposition au vent, réduisant la menace des maladies, et facilitant une culture en biodynamie. Bien décidé à mettre en valeur une longue histoire viticole un peu oubliée, Maxime Dancoine produit avec brio de jolis vins à partir de mondeuse noire, de jacquère blanche et d’altesse. Il a également planté des parcelles de cépages savoyards méconnus tels le joubertin noir, le blanc de maurienne ou la mondeuse grise et blanche. Des vins sans soufre, dont la production reste confidentielle mais déjà très remarquée.

Lire l'article du Journal iDealwine sur le Domaine de l’Aitonnement

2022
46
2021
37
2020
37
2022
38
2023
64
2023
32
2022
30
2021
29
2020
29
2023
100
2023
50
2022
46
2023
40
2023
80
2023
40
2021
29,50
2023
64
2023
32
2022
30
2023
60
2022
60
2020
12
2022
14

CE QUE DISENT LES GUIDES...

BETTANE & DESSEAUVE

Formé à Changins en Suisse, Maxime Dancoine a repris en 2016 les vignes du couple Bachellier à Aiton, à la pointe occidentale du massif de la Maurienne. Les vignes étaient déjà en bio. Il utilise certaines pratiques biodynamiques et s’inscrit dans les canons de sa génération, avec une utilisation minimale du soufre ajouté. Il travaille les cépages classiques sur une micro-surface de 1,6 hectares et replante quelques cépages autochtones. Les noms des cuvées font référence au cosmos et ont des looks originaux. Assez confidentiel et très bon.

LA REVUE DU VIN DE FRANCE

La production qui en est issue commence néanmoins à attirer l'attention des amateurs. Très soignée, d'inspiration biodynamique et labellisée bio depuis 2017, elle s'inscrit dans la diversité et l'ambition qui caractérisent le renouveau générationnel de la viticulture savoyarde.