IGP Cyclades Vassaltis Nassitis 2022

Présentation du lot

IGP Cyclades Vassaltis Nassitis 2022

La cuvée

L’assyrtiko, cépage roi de l’île de Santorin est ici complété d’aidani et d’athiri, deux autres cépages blancs traditionnels du vignoble grec. Ceux-ci apportent un peu plus de rondeur à l’acidité tranchante de l’assyrtiko ainsi que des notes de fruits jaunes et d’agrumes pour l’athiri et de fleurs blanches pour l’aidani. Ces trois cépages, bien adaptés au climat chaud sont parfaitement à l’aise dans les sols volcaniques, de sable et de basalte de Santorin, où ils sont plantés francs de pieds. Le phylloxera n’a en effet jamais réussi à ravager la culture locale. Les trois cépages sont fermentés séparément en cuves inox puis assemblés pour l’élevage, qui s’étend sur une durée de six mois en contact avec les lies.
Paré d’une robe dorée, Nassitis dévoile un nez complexe de fleurs blanches, d’agrumes et de pêche, souligné d’une minéralité affirmée. Dotée d’une texture crémeuse, la bouche est parfaitement équilibrée et s’allonge en une finale élégante. Un vin à boire dans les trois ans en accompagnement d’un poisson grillé.

Le domaine Vassaltis

Vassaltis. Un nom qui sent bon la Méditerranée et nous propulse surtout au sein de l’île venteuse de Santorin, en Grèce. Car c’est là que se situe ce domaine viticole, à Vorvoulos, sur la côte, au nord-ouest, très précisément. Créé en 1980 par le père de l’actuel propriétaire Yannis Valabous, il dispose de vignes courant sur une roche basaltique. Cette matière engendrée par le refroidissement de la lave permet aux raisins de réaliser des vins précis, traversés par une minéralité saisissante. Âgés de 50 à 80 ans environ, les cépages traditionnels cultivés sont l’assyrtiko (roi de l’île), l’aidani et l’athiri et s’étendent sur une douzaine d'hectares, tout en étant cultivés avec soin, selon des méthodes traditionnelles manuelles. Sans grande surprise, pour être protégées des vents violents qui balayent Santorin et du soleil rude estival, les vignes sont conduites en forme de nid, selon la méthode « kouloura ». Les récoltes se font donc à la main et permettent des rendements relativement faibles, de l’ordre d’une dizaine d’hectolitres par hectare.

Caracteristiques détaillées