Vins en vente : Rapet Père & Fils
Rapet Père & Fils
C’est l’une des plus vieilles familles de Pernand-Vergelesses, ce village aux pieds de la colline de Corton. Un tastevin de 1765 porte son nom…
20 hectares de vignes sur les appellations prestigieuses du nord de la Côte de Beaune : Pernand-Vergelesses, Savigny-les-Beaune, Chorey-les-Beaune, Aloxe-Corton et Beaune. Des premiers crus, des grands crus… Voici l'héritage de cette vieille famille, sans doute l’un des plus beaux patrimoines de Pernand-Vergelesses.
Si aujourd’hui Vincent et son fils Robin sont aux commandes, les origines viticoles des Rapet remontent au moins à 1765, comme le prouve ce tastevin gravé "Rapet" en argent transmis de génération en génération jusqu’à aujourd’hui. A mesure des vignerons et des millésimes, des évolutions, qui ont mené le domaine dans une quête du mieux et du plus précis : des travaux de vigne ayant pour but d'obtenir le plus beau fruit, miroir de son terroir, en respectant la plante ; un travail en cours de certification biologique ; une cuverie à la pointe pour forger des cuvées en dentelle.
Nous apprécions la précision et la droiture des vins du domaine Rapet. Entre fruit éclatant, équilibre, mâche et touche minérale, ces cuvées sont de vrais miroirs des terroirs dont elles sont issues.
Lire l'article du Journal iDealwine sur le domaine Rapet Père et fils
CE QUE DISENT LES GUIDES...
BETTANE & DESSEAUVE
« L'outil de production de Vincent permet de bousculer les meilleurs de la Bourgogne. Depuis 2015 les rouges nous épatent. Ils ont rejoint des blancs de réputation ancienne. Les 2021 ont su capter la grande délicatesse possible dans le millésime. C’est une adresse très sûre où aucun vin de la large gamme ne déçoit. »
LA REVUE DU VIN DE FRANCE
Producteur historique de Pernand-Vergelesses, le domaine Rapet élabore des vins intemporels avec des outils et des techniques modernes. Si les rouges comme les blancs sont légèrement introvertis dans leur jeunesse, ils finissent toujours par afficher une grande élégance après quelques années. (...) La deuxième étoile est amplement méritée.
