L’‘histoire de la distillerie Bally commence avec la fondation de l’‘Habitation de Lajus en 1774, exploitation sucrière implantée au Carbet en Martinique. En 1917, Jacques Bally, ingénieur français, fait l’‘acquisition des lieux et modernise ses équipements. C’‘est sous sa direction que la distillerie se fait une renommée internationale. En 1987, la distillerie est transférée au Simon puis à Saint James à partir de 1996. La marque appartient aujourd’‘hui au groupe La Martiniquaise.

Ce Bally 1960 est le fruit d’’un long vieillissement et d’’une belle année garantissant à la fois son éclat aromatique, sa profondeur ainsi que toute sa légende. Voici peut-être l’’un des rhums les plus mythiques de France. En effet, issu d’’une plantation en Martinique, celui-ci est d’’abord l’’une des plus vieilles maisons locale et, peut-être même, du monde. La plantation Lajus, située au Carbet, et qui a donné à ce rhum son nom : Lajus du Carbet, date du début du XVIIème siècle (1670, environ). A l’’origine, située près d’’une rivière, elle était un simple et modeste moulin à eau qui alimentait une petite sucrerie locale. Il a fallu attendre les années 1920, en plein roaring twenties, pour que Jacques Bally, le nouveau propriétaire, commence à distiller ses propres rhums. En effet, à partir de cette année-là, les rhums ont commencé à prendre un nouveau tournant puisque Jacques Bally, ingénieux et visionnaire, a eu, en premier, l’’idée d’’importer dans le rhum les méthodes de fabrication du cognac. Par la suite, les rhums ont passé quelques années dans des fûts afin que le vieillissement puisse leur garantir un supplément de profondeur, d’’âme et apporter de grandes émotions à la dégustation.
Ce rhum est absolument légendaire, les parfums y sont exquis et l’’équilibre génial.