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Vins en vente : Château Desmirail

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Photo d'arrière plan en noir et blanc montrant la lumière du soleil à travers des vignes

Château Desmirail

Le château Desmirail ne date pas d'hier. Lieu phare de la viticulture médocaine, c'est en 1742 que l'histoire de la propriété prend forme avec Jean-Baptiste Desmirail et son épouse Marguerite Rauzan du Ribail. Au milieu du XIXe siècle, le château est acquis par Monsieur Sipière, alors propriétaire du célèbre château Margaux. Il portera Desmirail au rang de troisième Grand Cru Classé 1855. La propriété est déjà plantée majoritairement de cabernet-sauvignon et de merlot, mais on y trouve aussi quelques plants de petit verdot. À la veille dans la Seconde Guerre mondiale, la propriété connaît trois propriétaires différents, Robert de Mendelssohn (neveu du célèbre compositeur allemand) ; Martial Michel, gantier français originaire du Nord ; puis la société du Château Palmer.
C'est en 1980 que le Château Desmirail fait la rencontre de Lucien Lurton, déjà détenteur de dix propriétés, dont six Crus Classés. Héritier du domaine, l'un de ses 10 fils, Denis Lurton apporte encore aujourd'hui tout le soin nécessaire à la pérennité du château Desmirail.
Avec une viticulture raisonnée et un terroir exceptionnel, le château Desmirail est l'une des propriétés les plus authentiques de la région bordelaise.

2021
125
2021
63
2021
32
2019
68
2010
90 (prix actuel)
Les cotes du domaine Château Desmirail

CE QUE DISENT LES GUIDES...

BETTANE & DESSEAUVE

Ce cru est l’un des moins connus du classement mais possède d’excellentes parcelles au cœur de son appellation, et son 2010 de haut niveau montre ce qu’il peut faire. Les millésimes suivants naissent en apparence un peu maigres mais trouvent un bel équilibre deux ans après mise, avec un caractère floral élégant et typique de margaux. Il ne lui manque que l’intensité de ses pairs du classement.

LA REVUE DU VIN DE FRANCE

Troisième cru classé de Margaux, le château a pris désormais une jolie vitesse de croisière, gagnant en intensité et en définition. Des progrès que l'on doit à Denis Lurton qui a su donner du velouté et de la suavité aux vins en s'appuyant sur une généreuse proportion de merlots. Les prix demeurent très accessibles et la belle qualité des derniers millésimes le rapproche de la première étoile.