Vins en vente : Château Troplong Mondot
Château Troplong Mondot
Le domaine de Mondot sur lequel est implanté le vignoble de Troplong Mondot existe depuis le XVIIIème siècle.
Lorsque l'abbé Raymond de Sèze, issu d'une prestigieuse famille bordelaise, édifie le château actuel, le domaine de Mondot compte déjà parmi les grands vins de Saint-Emilion. En 1850, Raymond Troplong, qui est, par la suite, devenu Président du Sénat, complète le domaine, et sa superficie ne sera quasiment plus modifiée par la suite. Son neveu, Edouard Troplong, adjoint son nom à celui de Mondot avant de le vendre à la famille Valette.
Les quelques 43 hectares de vignoble, composés pour une grande partie de vieilles vignes (20 ans en moyenne, mais jusqu'à 90 ans pour les plus anciennes), bénéficient d'une exposition parfaite et d'un drainage naturel car ils sont situés sur le point culminant de Saint-Emilion. Revu régulièrement, le Classement de Saint-Emilion a consacré, en 2006, Troplong Mondot comme 1er Grand Cru Classé B, un rang confirmé en 2012 et 2022.
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CE QUE DISENT LES GUIDES...
BETTANE & DESSEAUVE
“Le point culminant de Saint-émilion. Son vignoble possède une situation privilégiée et ses sols et le microclimat sont de même nature que ceux du secteur de Pavie. Depuis son rachat en 2017, par le réassureur Scor, la direction de ce premier cru a été confiée à Aymeric de Gironde. Les modifications mises en place dès 2017 sont avant tout des ajustements de date de récolte et de vinification pour apporter plus de fraîcheur de constitution au cru. Après trois ans de travaux le nouveau chai gravitaire aux lignes épurées construit en hauteur permet de gagner en précision dans tous les gestes techniques.”
LA REVUE DU VIN DE FRANCE
« La diversité des sols et des expositions autour de la butte de Mondot amènent complexité et masse au vin. Aymeric de Gironde, s’attache à parcelliser au maximum l’intégralité de la propriété afin de donner aux vins davantage de précision. Il les fait évoluer ainsi vers la finesse alors que c’est un style plutôt massif qui s’imposait jusqu’à peu. 2019, le troisième millésime depuis le rachat, confirme le désir d’évolution vers moins d’extraction. La puissance du terroir étant gratuite, il faut la retenir plutôt que de l’extraire. Grâce à ses 42 cuves, le nouveau chai permet d’affiner dans le détail le parcellaire. »